Natif du Bono, petite commune maritime du Golfe du Morbihan, Stéphane a été plongé très tôt dans le monde de l’ostréiculture et de la pêche.
Dès son plus son âge avec ses copains, il grattait chaque jour un millier de tuiles* durant les vacances de printemps.
*Les tuiles, enduites d’un mélange de chaux et de sable, permettent de récolter les larves d’huîtres (appelées le naissain).
Des racines au Bono
Alors pas étonnant qu’après trois décennies dans le monde du transport et de la logistique, Stéphane retourne à ses racines maritimes !
En 2018, il lance une offre d’huîtres bretonnes sur Paris, enrichie très rapidement par une sélection de poissons, coquillages et crustacés, à la demande des chefs parisiens.
D’ailleurs, Ostrenn tire son nom d’ISTRENN (huîtres en breton). Le I a été remplacé par le O d’ostréiculture.